mercredi 3 septembre 2014

Ode à Titine

Je me rappelle encore le jour où nous t'avons commandée chez le concessionnaire, à l'automne 1994. Bien que nous venions d'essayer ta rivale, la jeune et jolie Twingo, c'est toi que Maman a choisie. Lorsqu’il a fallu décider de ta couleur, j'ai insisté pour que tu sois de ce rouge chatoyant qui t'allait si bien. Je ne l’ai jamais regretté. Et puisque aujourd'hui il nous faut te dire adieu, il me semble important de nous rappeler de ta belle et longue vie parmi nous.

Durant pratiquement vingt ans tu as fidèlement servi notre famille. Maman d'abord, puis Florence, puis moi, ensuite Tonton et enfin Cécile. Si Maman t'as toujours bichonnée (c'est bien normal après tout, tu étais neuve !) Flo et moi t'en avons fait voir de toutes les couleurs. Je ne connaîtrais sans doute jamais toutes les aventures que tu as vécues avec elle (même si les faits sont aujourd'hui prescrits) mais je repense avec émotion à nos années ensemble, lorsque nous allions travailler en écoutant du Pink sur le poste Radio-Cassette dont tu étais pourvue. 
Tu es la première que j’aie jamais conduite, lorsque j’avais 13 ans et que Flo m’a donné ma première leçon dans la zone industrielle du Vintué. Tu es celle qui m’a emmenée aux épreuves du bac, et aussi à la découverte des résultats.
Je me rappelle lorsque, il y 10 ans quasiment jour pour jour, malgré un pot d’échappement percé, tu m’as tout de même emmenée au mariage de ma sœur, toute fière avec ton petit nœud blanc sur l’antenne.
Je me rappelle le jour où, sur l'A10 en allant voir Flo à Massy, j'ai von ton compteur passer la barre symbolique des 100 000 kilomètres. 

Jamais tu n’as failli. Jamais aucune panne n’a eu raison de ton courage et de ta dévotion. Tu avais une reprise dans les côtes qu’aujourd’hui encore, je n’ai  jamais retrouvée. Alors certes, tu n’avais ni climatisation, ni prise allume cigare, mais qu’importe, c’était aussi ça, ton charme si particulier. 

Et lorsque j’ai eu la folie de te préférer un modèle plus récent, tu as gardé courage, et tu as fidèlement servi Tonton qui t’a offert un nouveau volant et une sono à faire pâlir de jalousie des voitures bien plus jeunes…
Puis c’est Cécile qui a eu le privilège de te mener dans tes dernières aventures. Je suis d'ailleurs heureuse d'avoir pu, lorsque je lui ai rendu visite, te conduire une dernière fois.

Mais hélas, aujourd'hui, ton beau voyage doit prendre fin...

Super, ça oui, tu l’étais, parée de ta cape rouge, comme les plus grands héros.
5, c’est le nombre de membres de notre famille que tu as servis fidèlement
Saga pour ta vie, si riche et si longue, surtout pour une adorable petite voiture comme toi.

Titine, En ce jour, je tiens à te dire que ce fut un honneur et un privilège d’avoir pu un jour t’appeler MA voiture.
Puisses tu à jamais faire ronronner ton moteur dans le paradis automobile.

samedi 16 août 2014

DIY : Des lunettes trouadé ? Oui, mais des lunettes trouadé pour vrais binoclards !

Et voilà, rentrée de vacances, et une furieuse envie d'aller voir les Gardiens de la Galaxie. Seulement voilà, comme d'habitude, je suis partagée entre mon amour pour les salles obscures et ma haine de la 3D. Oui, parce que pour nous autres binoclards, aller voir un film en 3D, c'est se taper 2 paires de lunettes qui d'entrechoquent pendant 2 heures? Bref, c'est super chiant, et c'est pour ça que je clame haut et fort depuis des années : "La trouadé, c'est tabou ! On en viendra tous à bout !"

Mais en agitant 2 neurones, je me dis qu'en fait, il y a peut être une solution toute simple à laquelle je suis bien bête de ne pas avoir pensé avant.... Pourquoi ne pas faire des lunettes 3D à ma vue ? Compliqué ? Cher ? Même pas vrai ! 

Pour appliquer mon plan diabolique, il faut : 

  • Une paire de lunettes 3D
  • Une vieille paire de lunette à votre vue, genre l'une des 475 paires à 1 euros que vous gardez en réserve au cas ou vos 474 autres subissent une attaque nucléaire
  • Un couteau suisse (ou un couteau tout court)
  • Des ciseaux
  • Un feutre
  • un peu de courage (parce que démonter les verres de ses lunettes y en a qui n'aiment pas quand même....)


Pour commencer, il faut retirer les filtres des lunettes 3D. C'est là qu'on s’aperçoit qu'en fait ce n'est pas si mal fait ces machins, parce qu'on galère un peut pour les ouvrir sans rayer les filtres....


Et là, on découvre soudain qu'il y a des détrompeurs sur les filtres... Mon instinct de bricol'girl me dit d'éviter de les ignorer, on va donc s'assurer que le gauche reste à gauche et le droit à droite.

Et on fait pareil avec les lunettes de vue, on retire les verres. Alors attention, j'ai bien pris une bonne grosse monture en plastique souple dont je sais que je peux retirer les verres et les remettre. A ne pas essayer avec des lunettes Dior en carbone, hein ! Des vieux trucs à 1€ on a dit ! 


Et là on passe à la partie rigolotte ! Avec le feutre, on va décalquer le contour du verre sur le filtre (en vérifiant le sens et en s'assurant de bien le faire avec le bon filtre !) : 

Et là, on découpe avec amour et délicatesse, tout simplement :


Oui, je sais, c'est moche, c'est encore un peu grand et pas très droit, mais ensuite il faut ajuster, lentement, délicatement pour obtenir à peu près la même taille que le verre.

Et enfin, on replace les verres en coinçant les filtres entre eux et la monture, et on obtient des lunettes 3D stylée, mais surtout avec lesquelles on peut voir ! Tadaaaaa !


Et donc, test grandeur nature ce soir. J'emporte quand même une paire non charcutée au cas ou ça ne marche pas :-p Je vous tiens au courant !


mercredi 25 juin 2014

Les avant/après qui font se dire que des fois, c'est important de reprendre les vieux dossiers...

Ah, tiens, encore un bon mois sans rien écrire, comme le temps passe... (Beaucoup trop vite, entre nous). Mais parlons-en, du temps, justement. Il arrive (très rarement dans mon cas) que l'on ait subitement envie de remettre un costume qu'on a fait il y a quelques années. Alors on le ressort, on le regarde, et là, en général, ça pique les yeux. Parce qu'en 3 ou 4 ans, on a un peu progressé niveau couture, et on se demande si on est vraiment l'auteur de ce travail de cochon... Vous ne me croyez pas ? Voici pourtant 2 exemples assez parlants :

Stage Beauty, la robe orange : 


Temps écoulé entre les 2 photos : 3 ans. 
Différences : La jupe. Pour le moment. Un jour, je reprendrais le bustier aussi. Là, on est passé d'un superbe fronçage bordélique option crado à un plissage propre et régulier qui fait quand même plus classe. On notera aussi que l'ourlet a été (re)fait. Ah et si, le bustier est passé d'une fermeture éclair super moche et crado à un laçage avec ruban de satin. Beaucoup plus joli !

Katrina Van Tassel : 


Temps écoulé entre les 2 photos : 3 ans aussi
Différences : Plein. Elle a été reprise de Rat à Zèbre, mais surtout, lorsque je l'ai commencée, j'étais trèèès loin d'avoir le niveau pour m'attaquer à ce genre de chose...  Mais ça reste ma pièce préférée. Sans regrets, donc !

mardi 20 mai 2014

Le bonheur est au fond du pot de glace

J’ai lu un article intéressant aujourd’hui…
C’est l’histoire d’une ancienne obèse qui montre le côté pas glamour de la transformation, et qui explique que non, ce n’est pas un coup de baguette magique qui vous transforme d’un coup en top model. Il y a de la peau abîmée, ça pendouille, ce n’est pas joli, et il faut planquer tout ça. J’ai aussi vu passer récemment un dessin qui disait qu’en fait, perdre du poids, ça ne change pas le regard que les autres portent sur soi, juste le sien. (pas moyen de remettre la main dessus)

Du coup, ça m’a fait réfléchir. J’ai repensé à cette brève période, après que j’aie fait le régime dukan (que je ne conseille à personne vu les effets secondaires) ou je pesais moins de 65 kilos (ce qui ne m’était plus arrivé depuis le lycée) Qu’est-ce que je regrette ce corps en fait ? Qu’est-ce que le fait d’avoir repris 20 kilos a changé dans ma vie ? Est-ce que je suis moins heureuse ? Est-ce que mes proches m’aiment moins ? Plus ? Non.
Par contre, ce corps mince m’a permis de découvrir que même en faisant un petit 38, figurez-vous que j’avais toujours des grosses cuisses avec de la cellulite, des mollets qui ne rentrent pas dans toutes les bottes, et je n’avais pas non plus les biceps de Jennifer Garner dans Alias. Par contre j’ai du bol, j’avais gardé mes gros seins. :P
Et puis finalement, 3 ans plus tard, je suis revenue à la normale. A ma normale en tout cas, le poids qui s’impose tout seul quand je fais le régime Miracle (celui ou je mange ce que je veux en attendant un miracle :) )

Ce qui change, c’est que je ne rentre plus dans les vêtements que j’ai acheté ou les costumes que j’ai fait à l’époque. Ca, c’est vrai, ça me fait chier prodigieusement. Surtout les costumes, parce que dans le tas il y a Katrina. C’est vraiment LE costume qui me manque.

Mais par contre, je suis réconciliée avec mon corps. Je connais mes atouts, je sais ce qui me met en valeur, ce que je dois éviter. Et je m’éclate avec ce qui me convient. J’ai arrêté d’acheter des fringues à la taille d’en-dessous parce que « je vais maigrir, c’est sur ». Non, maintenant, je m’en tape du chiffre. Je suis bien dedans et bah je prends alors ! Et si je maigris, je retoucherais ! Oui, j’ai des vergetures, c’est normal, j’ai eu un bébé, ça ne me gène pas. Mon corps me convient, il fait partie de ce que je suis, les autres m’acceptent avec alors pourquoi pas moi ?
La seule chose que j’aimerais récupérer de cette époque, c’est le fait de pouvoir courir sans être essoufflée au bout de 2 mètres, de mettre des talons de 10cm sans avoir mal à la fin de la journée parce que je suis trop lourde pour la pointe de mes pieds. Mais ça, ce n’est même pas une question de poids, c’est une question de bougeage de cul. Alors demain matin, je vais retourner à la salle de sport et recommencer à me bouger. Pas pour avoir le corps de Scarlett Johannson, juste pour pouvoir courir après mon fils lorsqu’il voudra jouer à chat.


Et après, je mangerais un pain a chocolat et je ne culpabiliserais même pas !


lundi 19 mai 2014

Merci Frozen pour m'avoir fait retourner Youtube !

Ca fait un moment que je n'ai pas écrit, et la dernière fois, j'étais plutôt en mode grincheuse. Mais comme je suis moi et que même pendant une catastrophe je cherche toujours un moyen de rigoler, j'en avais quand même profité pour glisser une grosse connerie. (Si vous ne l'avez pas vue, vous pouvez prendre 2 minutes pour revérifier sur le billet précédent. Z'êtes revenus ? Bon, tant mieux. 
Parce qu’aujourd’hui, je voudrais vraiment vous faire partager 2 vidéos qui ont croisé mes clics, et qui on réussi à me faire pleurer de rire plus de 24 heures d'affilée. Leur point commun ? Un vague (voir très vague) lien avec Frozen...

La première, je la dois à Ingrid qui a eu la bonne idée de me la linker, c'est la Connasse des Neiges : 


Ouais. C'est là que j'ai compris que plus il y a de monde dans le bureau, plus tu es susceptible de faire des bruits de gorets pour t'empêcher de rire. Mais tout ça c'est du passé puisque j'ai à présent mon propre bureau rien qu'à moi ^^. Et heureusement, parce que la vidéo suivante m'a fait pleurer. Enfin, verser une petite larme, quoi... Rien à voir à ce qui arrive à la principale protagoniste (un certain niveau d'anglais est nécessaire pour suivre) : 


Voilou voilou. C'était la princesse Anna comme vous ne l'aviez jamais vue ! Si vous avez d'autres perles dans vos liens qui permettent d'égayer les journées de travail, n'hésitez pas ! En attendant, on se quitte en musiiique ! 




mardi 18 mars 2014

Parce que des fois il faut parler de choses pas marrantes

Bon. 
D'habitude ici c'est bonne humeur, paillettes et papillons. Mais aujourd'hui, c'est pénurie de paillettes à Malibu.

Sauf qu'en fait, j'ai pas envie de rire. 

Parce qu'il y a une semaine, une blogueuse, une femme, la fille, la sœur, la copine de quelqu'un, s'est faite agresser dans le Métro. Oui je sais, ça arrive a tous les jours à beaucoup de monde, et c'est pour ça que j'en parle. Parce que cette histoire, c'est celle de trop de femmes.

Jack Parker, donc, a raconté ce qui lui est arrivé sur son Blog. Elle a reçu beaucoup de réactions, dont certaines de primates qui mériteraient qu'on s’occupe de leur virilité avec des couteaux à beurre rouillés. C'est inacceptable, intolérable et malheureusement terriblement banal. 

Mais il y a une autre chose qui me choque dans cette histoire, c'est la banalisation de ce qui est arrivé à Jack. 

Et c'est elle qui commence d'ailleurs, en racontant quelle a vécu "un moment assez désagréable". Non. Un moment désagréable, c'est quand un mec qui pue la transpiration a décidé de choper la barre à 2m40 de hauteur et que tu es coincé sous son aisselle. Ça c'était une agression, c'était grave, et ça ne devrait pas se produire.

J'ai vu un autre article qui parlait de cette histoire sur Facebook, et qui titre "Main aux fesses dans le Métro". Non. C'est encore minimiser ce qui s'est passé, pour faire passer la victime pour une hystérique. Ce type a essayé de lui mettre les doigts dans l'entrejambe. Corrigez moi si je me trompe, mais d'un point de vue légal, faire ça sans consentement, c'est un viol. 

Donc voilà ou on en est aujourd'hui. Non contentes de devoir subir le harcèlement de rue quotidiennement, aujourd’hui les femmes se font violer dans le Metro, en pleine journée et quand elles osent s'en plaindre on leur dit que c'est de leur faute parce qu'elles ont osé porter une jupe.

C'est inacceptable, c'est dégueulasse et ceux qui ne condamnent pas les actes des agresseurs ne méritent pas de vivre dans une société civilisée.

Alors Oui, en ce moment ça fait le buzz mais il ne faut pas laisser l'indignation retomber. Ça doit s'arrêter maintenant. Reste à trouver comment faire...

jeudi 6 mars 2014

Pâtisserie artistique, épisode 2 : Maintenant que j'ai le truc, je peux en faire plein !

Vous l'aurez noté dans le premier article, mes neveux sont plusieurs. Donc, forcément, lorsque l'un a un beau gâteau d'anniversaire, le second en veut un aussi. Et ensuite on repart sur l'anniversaire du suivant, et c'est l'engrenage. Déjà, au grand désespoir de ce lui qui allait devenir mon Mari, j'avais investi dans un petit peu de matériel... Juste un peu, hein  Rien de bien méchant...



Bah quoi ? Elle était pas chère sur Amazon.com ! Et pis en plus comme ça c'est rangé il ne peut même pas râler !

A l'anniversaire suivant du neveu numéro 2, donc, je commis l'erreur fatale. Je lui demandai ce qu'il voulait comme gâteau : "Un Flash McQuinn !" Bah tiens ! J'ai bien fait de demander, moi ! Heureusement j'étais tombée sur un super tutorial ! Du coup, après à peine 5 heures de travail, ça donnait ça :


Et comme avec toutes ces découpes il restait plein de gâteau, j'en ai profité pour faire une pièce montée pour que ma Maman souffle ses bougies aussi !


De là, ce fut l'escalade... Tous les prétextes furent bons pour jouer avec Spatules et poches à douilles. C'est ainsi que je pus varier mes créations avec par exemple, le château de Raiponce :


Ou encore la pièce montée de Noël dernier :


(D'ailleurs pour celle là, j'étais tellement fière de moi que j'en ai envoyé des photos à me meilleure amie à la seconde où je l'ai terminée !)

Et ce n'est probablement pas fini, j'ai d'ailleurs un petit gâteau "Reine des Neiges" à faire pour bientôt...




mercredi 5 mars 2014

Pâtisserie artistique, épisode 1 (ou comment je suis tombée dans la marmite)

On pourrait croire qu’une passion pour le Cosplay et un bébé ça suffirait pour occuper plus de temps que je n’en ai à ma disposition. On n’aurait pas tort, entre nous. Et tout se passerait probablement plus simplement si je n’avais qu’une seule passion dans ma vie. Mais non ! Car j’ai bien d’autres vices et loisirs encombrants à vous faire partager ! 
Et aujourd’hui, le sujet qui nous intéresse, c’est la pâtisserie artistique.

Autant vous prévenir, vous risquez de souffrir de diabète après la lecture de cet article…

J’ai toujours trouvé assez géniale l’idée de faire des gâteaux à la fois bons et jolis. Les trucs qu’on voit sur internet en forme de tout et n’importe quoi, ça me fait rêver. Pas pour les manger, hein mais juste pour les faire. Oui, c’est un vrai problème en pâtisserie. Faire les gâteaux c’est sympa mais ensuite, il faut les manger. Et mon jean n’est pas toujours d’accord…

Bref, j’ai commencé à me lancer dans l’aventure pour les 5 ans de mon neveu. Il était dans sa période Trains et j’étais tombée sur un moule en forme de train (Dieu bénisse le silicone alimentaire..)


Pour le Noël suivant, j’ai acheté le moule à maisons de pain d’épices de chez Lekué et j’ai tenté (je dis bien tenté) d’en faire une pour Noël. Bon. C’est pas avec ça que je vais attraper Hansel et Gretel… 


(Et pour la petite histoire, bien que j'ai depuis refait quelques tentatives avec ce truc, je n'ai JAMAIS réussi à faire du joli ET du comestible. Soit ça s'effondre, soit on se pète les dents dessus...)

En 2011, j’ai enfin eu une cuisine digne de ce nom. Inspirée par Halloween (ma fête préférée) j’ai décidé de tenter l’aventure de la pâte à sucre. Pour ceux qui ignorent ce que c’est, c’est de la pâte à modeler à base de glucose, donc comestible. Ça existe un peu partout et en toutes sortes de couleurs, et une fois que vous avez ça, plus personne ne pourra vous arrêter à part votre imagination.

J’ai donc tenté de faire un superbe gâteau en forme de citrouille. Pas trop mal pour un premier essai il faut bien le dire, même si on ne peut pas dire que la régularité soit au rendez-vous.


Dans la foulée, j’ai donc fait un deuxième Gâteau thématisé Halloween pour mes neveux, beaucoup plus classe que le premier. Et aujourd'hui encore, ça reste un de mes préférés :


Mais tout ça, ce n'était qu'un début....

lundi 3 mars 2014

It's not Easy being green


Nan, tu as tort, Kermit ! Je ne me suis jamais autant éclatée en costume ! (sauf peut-être en Hermione mais bon. C’est Hermione, quoi…)

Bref, vous l’aurez compris, ce week-end fut mon premier évent en tant que Finn Ertay, Padawan Twi’lek à durée de vie limitée. Certes, le costume n’est pas validé par la RL parce que c’est à mon sens encore une V.1. avec pas mal de problèmes à régler :


  1. Le col est une catastrophe complète, je dois absolument le refaire pour qu’il ressemble à autre chose qu’à un sac avec un trou pour ma tête
  2. Il manque le bracelet de force sur le poignet gauche. 
  3. La boucle de ceinture est en carton 
  4. Les Lekku sont trop lourds et donc nécessitent un ajustement régulier et m’empêchent de porter le costume trop longtemps (mal de crane assuré !)

Mais sinon, à part ça, c’est top la fête ! Bon, on ne peut pas me filmer sur fond vert et certains m’ont appelée Princesse Fiona tout le week end (si ils cherchent un bon ophtalmo d’ailleurs…) mais d’un autre côté je peux me planquer au milieu des commandos Endor et personne ne me retrouvera jamais ! Mouahahahhaha !!!




Bref, plus que jamais motivée pour faire les ajustements nécessaires et la faire valider par la Rebel Legion ! Et à moi la vie de n’alien !